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Naissance |
Limoges, Haute-Vienne, France |
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Décès |
(à 68 ans) Saint-Sulpice-d'Excideuil, Dordogne |
Activité principale |
Langue d’écriture | français |
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Genres |
Simon Pierre Arbellot de Vacqueur, dit Simon Arbellot, est un journaliste et écrivain français, auteur d'essais et de romans policiers, né le à Limoges, mort le à Saint-Sulpice-d'Excideuil (Dordogne).
D'origine limousine, Simon Arbellot commence sa carrière au Figaro en 1920, qu'il quitte au début des années 1930 pour le journal Le Temps et la revue Documents. Bien que n'étant membre d'aucun mouvement politique, il est connu pour ses idées monarchistes et sa proximité avec l'Action française et Charles Maurras, auquel il consacre une biographie en 1937. En 1938, il justifie l'action clandestine de la Cagoule, estimant que cette organisation a été formée dans la crainte d'un « putsch de gauche ».
Sous l’Occupation, il est nommé directeur de la presse au ministère de l’Information à Vichy de 1940 à 1942, puis consul général de France à Malaga de 1943 à 1944. Il est surtout connu pour avoir été avec Gabriel Jeantet le « parrain » de François Mitterrand pour l’obtention de la Francisque en 1943, qu’il fréquentait alors, ce qui créera une controverse plusieurs décennies après. Après la guerre, il contribuera à divers titres de presse, comme Écrits de Paris, Le Charivari, ou encore La Revue des Deux Mondes.
Il a publié de nombreux ouvrages, romans et essais, mais également cinq romans policiers, mâtinés d'aventures, pour la collection Le Masque. La gastronomie l'a toujours intéressé : il est membre de l'Académie des Gastronomes où il occupe le fauteuil de Talleyrand, on lui doit une monographie de Curnonsky.