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Parti français national-collectiviste | |
Logotype officiel. | |
Présentation | |
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Chef | Pierre Clémenti |
Fondation | |
Disparition | |
Positionnement | Syncrétisme (de jure) Extrême droite (de facto) |
Idéologie | National-communisme Fascisme Socialisme national Troisième position Antisémitisme Anticapitalisme Antimaçonnisme Collaborationnisme Antibolchevisme |
Le Parti français national-collectiviste (PFNC), précédemment Parti français national-communiste, était un parti politique français d'inspiration socialiste et très proche du fascisme.
Il est apparu officiellement le sous le nom de Parti français national-communiste (PFNC), créé par le journaliste Pierre Clémenti. Son journal était Le Pays libre. Le mouvement est relancé en . Les autorités allemandes d'occupation ayant refusé l'adjectif communiste, le parti devient le Parti français national-collectiviste, ce qui lui permet de garder le même sigle.
Le parti a été l'un des initiateurs de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF).
Le jeune Robert Hersant fonde au début de l'Occupation « Jeune front », un groupuscule pronazi situé dans l'orbite du Parti français national-collectiviste. La principale activité du « Jeune front » est de distribuer le journal antisémite Au Pilori, l'un des plus extrémistes de la collaboration, subventionné par les autorités allemandes. « Jeune Front » est la section de jeunesse (16-21 ans) des « Gardes françaises ». Hersant obtient début un local pour son groupuscule, au 28, avenue des Champs-Élysées. Les membres du groupe se livrent également à des violences contre les commerçants de confession juive près de leur quartier général.
Clémenti décide cependant en de se séparer d'Hersant, et le remplace à la tête du Jeune front par Jean-Marie Balestre. Hersant s'associe alors avec ce dernier dans le but de faire scission, mais c'est un échec et Clémenti prend possession du local du Jeune front.