Dans cet article, nous allons analyser et discuter de John Gurdon, un sujet qui a suscité un grand intérêt et un grand débat dans la société d'aujourd'hui. À partir de différentes perspectives et approches, nous aborderons les aspects les plus pertinents et controversés liés à John Gurdon, dans le but de fournir une vue complète et détaillée sur ce sujet. Tout au long de cet article, nous explorerons son impact dans différents domaines, ainsi que les implications et conséquences qu’il entraîne. De même, nous examinerons les différentes opinions et positions sur la question, en proposant une analyse critique et objective. Grâce à cette analyse, nous visons à offrir une vue complète de John Gurdon et de sa pertinence aujourd'hui.
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Les premières recherches de John Gurdon ont eu trait à la fin des années 1950 au clonage chez les amphibiens par transfert nucléaire chez le Xénope. Ses travaux précurseurs ont montré que le cytoplasme d'une cellule souche embryonnaire (en l’occurrence ici l'œuf de Xénope) contenait tous les éléments nécessaires pour induire le caractère pluripotent d'une cellule même si un noyau d'une cellule adulte et différenciée y était transféré. John Gurdon a ainsi réalisé le premier clonage d'un organisme évolué quarante ans avant le premier clonage d'un mammifère, la brebis Dolly en 1996.
Les travaux de John Gurdon dans les années 1990 ont porté sur la compréhension des mécanismes de différenciation cellulaire et la capacité de toutes les cellules à pouvoir être reprogrammées génétiquement (par deméthylation des histones) pour redevenir des cellules pluripotentes.
(en) Autobiographie sur le site de la fondation Nobel (le bandeau sur la page comprend plusieurs liens relatifs à la remise du prix, dont un document rédigé par la personne lauréate — le Nobel Lecture — qui détaille ses apports)