Cet article abordera le sujet de Service national du renseignement pénitentiaire, qui a retenu l'attention d'individus de diverses disciplines et intérêts. Service national du renseignement pénitentiaire a fait l'objet d'études, de débats et de réflexions au fil du temps, ses implications et sa pertinence sont incontestables dans le domaine _var2. Grâce à une approche globale, différentes perspectives, recherches et opinions concernant Service national du renseignement pénitentiaire seront explorées, afin de fournir une vision complète et actualisée sur ce sujet. De son impact sur la société à ses implications au niveau individuel, cet article vise à fournir une vision détaillée et critique de Service national du renseignement pénitentiaire, dans le but d'enrichir la connaissance et la compréhension de ceux qui le lisent.
Service national du renseignement pénitentiaire | ||||
Emblème du SNRP | ||||
Devise : « S’engager, anticiper, protéger » | ||||
Situation | ||||
---|---|---|---|---|
Région | France | |||
Création | ||||
Ancien nom | Bureau central du renseignement pénitentiaire (BCRP) | |||
Type | Service de renseignement | |||
Domaine | Renseignement | |||
Siège | 35 rue de la Gare, Paris 19e | |||
Coordonnées | 48° 54′ 03″ N, 2° 22′ 33″ E | |||
Langue | Français | |||
Budget | 4 millions d'euros | |||
Organisation | ||||
Effectifs | 330 personnels | |||
Ministre | Éric Dupond-Moretti | |||
Directrice | Poste à pourvoir | |||
Dépend de | Direction de l'Administration pénitentiaire | |||
Site web | https://www.justice.gouv.fr/ | |||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
| ||||
modifier |
Le Service national du renseignement pénitentiaire (SNRP) est l'organisme de renseignement du ministère de la Justice français.
Inauguré le sous l'appellation de Bureau central du renseignement pénitentiaire (BCRP) par Jean-Jacques Urvoas, alors garde des Sceaux, il prend place parmi les services de renseignement français et a pour mission la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée ainsi que le renforcement de la sécurité pénitentiaire.
Initialement inséré au sein de la sous-direction de la sécurité pénitentiaire à la direction de l'Administration pénitentiaire, le Bureau central du renseignement pénitentiaire (BCRP) a été créé en application des lois du et du sous l'égide du ministre de la Justice d'alors, Jean-Jacques Urvoas.
Avec l'arrêté du , le BCRP est devenu un service à compétence nationale dénommé « Service national du renseignement pénitentiaire » rattaché au directeur de l'Administration pénitentiaire.
Un premier bureau de renseignement comportant une dizaine de personnels avait été créé en 2003 au sein de l'état major de sécurité (EMS3) et dissous en 2015. Selon Le Figaro, cette cellule « MS3 » avait été dissoute en 2015 par Christiane Taubira, alors garde des Sceaux.
Le SNRP a pour missions la collecte et l'exploitation du renseignement dans les trois domaines suivants :
Implanté dans le bâtiment Olympe de Gouges, dans le 19e arrondissement de Paris, le service dispose d'un effectif de 47 personnes qui s'appuie sur un réseau composé de plus de 400 personnels (analystes veilleurs, investigateurs numériques, délégués locaux ou régionaux du renseignement pénitentiaire). Son budget est de 4 millions d'euros.
Le SNRP était dirigé jusqu'au 7 novembre 2022 par Charlotte Hemmerdinger,, magistrate et première femme cheffe d'un service de renseignement en France. Il l'est depuis lors par Camille Hennetier, connue pour avoir soutenu l'accusation lors du procès des attentats de novembre 2015.
Les agents affectés au Service national du renseignement pénitentiaire ou travaillant sous l'autorité de ce service sont, le cas échéant, habilités conformément à la réglementation en vigueur relative à la protection du secret de la défense nationale.