Cet article abordera le sujet de Service de renseignement de l’État du Luxembourg sous différents angles dans le but d'approfondir sa pertinence et son impact aujourd'hui. Service de renseignement de l’État du Luxembourg a attiré l'attention de divers secteurs en raison de son impact sur la société, l'économie, la politique et la culture. Au fil des prochaines lignes, ses origines, son évolution, ses défis et ses opportunités, ainsi que son influence sur le changement social et technologique, seront analysés. De plus, différentes études et recherches qui ont mis en lumière Service de renseignement de l’État du Luxembourg et ses relations avec d'autres phénomènes seront examinées. Bref, cet article vise à offrir une vision globale et actualisée de Service de renseignement de l’État du Luxembourg, dans le but de contribuer au débat et à la réflexion sur ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Fondation |
(Service de renseignements) |
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Sigle |
SREL |
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Type | |
Siège | |
Pays |
Directrice |
Doris Woltz (d) (depuis ) |
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Organisation mère | |
Budget |
3,3 M€ () |
Site web |
Le Service de renseignement de l'État du Luxembourg ou « SREL » (ou Service de renseignement de l'État (SRE), jusqu’en 2004 son nom était simplement Service de renseignements) est le service de sécurité et de renseignement du Grand-Duché de Luxembourg. Créé par la loi du , le SREL voit son statut actuel défini par la loi du portant réorganisation du Service de renseignement de l’État.
La loi place le Service de renseignement sous la tutelle directe du Premier ministre du Grand-Duché. Il est contrôlé par une commission parlementaire, composée des présidents des groupes politiques représentés au Parlement national (Chambre des députés) et qui se réunit de manière régulière depuis . La Commission peut procéder à des contrôles sur l'activité générale du SRE et sur des dossiers spécifiques. À cette fin, elle est autorisée à prendre connaissance de toutes les informations et pièces qu'elle juge pertinentes pour l'exercice de sa mission à l'exception d'informations ou de pièces susceptibles de révéler l'identité d'une source du Service de renseignement ou pouvant porter atteinte aux droits de la personne d'un tiers.
Afin d'assurer plus de transparence, un rapport annuel sur les activités de la Commission de contrôle est publié.
Le Service de renseignement a essentiellement pour mission de rechercher, d’analyser et de traiter, dans une perspective de prévention les renseignements relatifs à toute activité qui menace la sécurité du Luxembourg, des États auxquels il est lié par un accord en vue d’une défense commune ou d’organisation internationale ayant leur siège ou exerçant leurs missions sur le territoire luxembourgeois, ses relations internationales ou son potentiel scientifique et économique.
Sont visées plus particulièrement par la notion « d'activité qui menace la sécurité, toute activité qui peut avoir un rapport avec l'espionnage, l'ingérence d'une puissance étrangère dans les affaires de l'État, le terrorisme, la prolifération de systèmes d'armements non conventionnels et des technologies y afférentes où le crime organisé dans la mesure où ce dernier est lié aux faits précités. »
En outre, il est chargé d’assurer la sécurité des pièces classifiées et d’effectuer les enquêtes de sécurité prévues par la loi ou découlant d’une obligation de droit international.
Le , il est rapporté une faille de sécurité sur Internet permettant d'avoir accès aux noms des[réf. nécessaire] 80 membres du personnel.
Identité | Période | Durée | |
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Début | Fin | ||
Jean-Pierre Brasseur (d) | 2 ans | ||
Roger Hoffmann (d) | 16 ans et 8 jours | ||
Eugène Schockmel (d) | 6 ans et 8 mois | ||
Charles Hoffmann (d) | 18 ans, 5 mois et 5 jours | ||
Marco Mille (d) | 6 ans, 2 mois et 11 jours | ||
Patrick Heck (d) | 5 ans, 9 mois et 30 jours | ||
Doris Woltz (d) | En cours | 8 ans, 4 mois et 19 jours |