Dans cet article, nous explorerons l'impact de Jean-Loïc Le Quellec sur différents aspects de la société. De son influence sur la culture populaire à sa pertinence dans l'histoire, Jean-Loïc Le Quellec a laissé une marque indélébile dans diverses sphères de la vie. Au fil des années, Jean-Loïc Le Quellec a fait l’objet de débats et d’analyses, générant toutes sortes d’opinions et de théories. À travers cette étude, nous cherchons à mettre en lumière l’importance de Jean-Loïc Le Quellec et son rôle dans le façonnement du monde tel que nous le connaissons. En explorant ses implications et ses conséquences, nous espérons approfondir la complexité de Jean-Loïc Le Quellec et son influence durable.
Président Association des amis de l'art rupestre saharien | |
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Directeur de recherche au CNRS |
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Directeur de thèse |
Denis Vialou (d) |
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Prix Bordin () |
Jean-Loïc Le Quellec, né le , est un anthropologue et préhistorien français, spécialiste de l'art rupestre du Sahara, rassemblant des peintures et des gravures sur roche datées pour la majeure partie du néolithique. Il est également spécialiste de mythologie moderne et des traditions du Bas-Poitou.
Jean-Loïc Le Quellec est diplômé de l’École pratique des hautes études (paléoécologie du Quaternaire) et docteur en anthropologie, ethnologie et préhistoire en 1992, avec une thèse intitulée : Le Symbolisme de l'art rupestre ancien du Sahara central.
Jean-Loïc Le Quellec est directeur de recherches émérite au CNRS.
Jean-Loïc Le Quellec a écrit de nombreux livres sur l'art rupestre du Sahara, en particulier en Libye. Deux de ses livres se proposent de renouveler l'approche de l’art rupestre.
Il a effectué plusieurs missions d'expertise au Sahara pour le compte de l'UNESCO. Il préside depuis 2003 l’Association des amis de l'art rupestre saharien (AAARS).
Plusieurs de ses écrits portent sur la mythologie française. Dans Des Martiens au Sahara, il analyse 30 théories « d'archéologie romantique » considérées comme des mythes contemporains.
En 2022, il publie La Caverne originelle : Art, mythes et premières humanités aux éditions La Découverte, une « somme récapitulant toute la littérature écrite sur le sujet » qu'il « tente de dépasser avec une thèse nouvelle ». Sur France Culture, Jean-Loïc Le Quellec s'interroge : « Pourquoi pénétrer dans des grottes obscures dans le but d’y figurer un petit nombre d’espèces animales, plus rarement quelques humains, souvent animalisés ? » et propose l'hypothèse d'« un grand mythe de création qui nourrissait l’ontologie des artistes du Paléolithique : celui de l’émergence primordiale, qui s’est répandu sur toute la surface du globe à mesure que Sapiens découvrait de nouveaux territoires. » Pour Livres Hebdo, « les nombreuses illustrations accompagnant le propos ainsi qu'une écriture pédagogique et fluide rendent accessible cette somme magistrale, entre grammaire des styles et généalogie de l'ornement préhistorique. » Une hypothèse qu'il avait déjà développé en créant une base de données permettant de dessiner un arbre phylogénétique de diffusion probable des mythes d'émergence, et qu'il avait exposé notamment lors d'une conférence donnée au Centre Pompidou en 2021.
Jean-Loïc Le Quellec est aussi un auteur vendéen d'expression poitevine-saintongeaise, dans une de ses variantes poitevines de Vendée. À ce titre il a écrit plusieurs ouvrages en poitevin.
Jean-Loïc Le Quellec a obtenu conjointement avec ses deux coauteurs le prix Bordin de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 2006 pour leur ouvrage : Du Sahara au Nil : Peintures et Gravures d'avant les pharaons. Le prix Burkhart de l'archéologie lui a été attribué par la même académie en 2008 pour soutenir son travail de recherche au Tassili n'Ajjer (Algérie).
En , en réponse au Manifeste contre le nouvel antisémitisme, il signe la tribune « La lutte contre l'antisémitisme doit être l'affaire de tous », qui parait dans le journal Le Monde.