Dans l'article suivant, nous explorerons l'impact que Interne des hôpitaux en France a eu sur différents aspects de la société actuelle. Depuis son origine jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, Interne des hôpitaux en France a été un sujet d'intérêt pour les chercheurs, les experts et le grand public. Tout au long de cet article, nous analyserons les différentes perspectives liées à Interne des hôpitaux en France, ainsi que les implications qu'il a eues dans des domaines tels que la technologie, la culture, la politique et l'économie. De plus, nous examinerons comment Interne des hôpitaux en France a influencé et changé la façon dont nous interagissons, communiquons et naviguons dans le monde d'aujourd'hui. Sans aucun doute, Interne des hôpitaux en France a laissé une marque significative sur notre société et continuera d'être un sujet d'actualité pour l'avenir.
Autres appellations |
Interne en médecine, interne pharmacien, interne dentiste. |
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Secteur |
Santé, professions médicales réglementées |
Métiers voisins |
Vaguement assimilé à la notion de doctorant. |
Compétences requises | |
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Diplômes requis | |
Évolutions de carrière |
Salaire |
1 375 - 2 016 € variable selon la participation aux gardes et astreintes et l'ancienneté. |
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L'interne, anciennement l'interne des hôpitaux, est un membre du personnel médical en formation en médecine, pharmacie ou odontologie acquérant une formation clinique à plein temps au sein d'un centre hospitalier universitaire ou ambulatoire au sein d'une unité de soins d'enseignement et de recherche (USER) comportant cabinet, maison de santé pluridisciplinaire ou centre de protection maternelle et infantile (PMI) agréés. L'internat pour les étudiants pharmaciens ou dentistes ne se destinant pas à un exercice hospitalier garde un caractère facultatif. L'internat est obligatoire pour un futur médecin, pour toutes les spécialités, dont la médecine générale.
Les étudiants de 3e cycle continuent donc à se former de façon théorique dans une unité de formation et de recherche et à y développer un projet de recherche, en particulier pour leur thèse et mémoire de Diplôme d'études spécialisées.
L'interne des hôpitaux participe au service public hospitalier où il traite ses patients avec une autonomie relative, pour lesquels il peut établir des prescriptions sous le contrôle et par délégation d'un médecin titulaire.
L'internat est le temps des études médicales consacré à la spécialisation, la médecine générale étant une spécialité à part entière. De ce fait, l'interne prépare un diplôme d'études spécialisées (DES), qui pourra être complété d'un diplôme d'études spécialisées complémentaires (DESC), et une thèse d'exercice, rédigeant souvent deux mémoires au cours de l'internat, de plus en plus souvent sous la forme d'articles publiables dans une revue médicale, selon les inter-régions et une thèse avant d'obtenir le diplôme de docteur. Depuis 2017, les DESC ont disparu et sont devenus des DES à part entière ou sont passés sous forme de FST (Formations Spécialisées Transversales). Néanmoins, les internes en médecine sont considérés comme des médecins à part entière, disposant d'un droit de prescription. Ils peuvent ainsi souvent se faire appeler « docteur » même s'ils n'ont encore soutenu aucune thèse et exercer comme remplaçants après validation de cinq semestres de troisième cycle d'études.
Au sein d'autres systèmes éducatifs et sanitaires, l'internat des hôpitaux équivaut à un résidanat.
En France, les internes ont un statut d'agent public et non d'étudiant selon l'article R6153-2 du Code de la Santé Publique tout comme un résident a le titre de médecin dans les pays anglophones, notamment les États-Unis ou en Suisse (où il est souvent appelé médecin assistant).
Ces professionnels de santé, qui poursuivent leur formation avant d'être inscrits individuellement au tableau de l'Ordre de leur profession et d'exercer une pratique plus individuelle et autonome, sont parfois appelés « Docteurs » avant même la soutenance de quelque thèse que ce soit.
En France, le ministre des Affaires sociales et de la Santé (Marisol Touraine) a demandé fin 2012 à un groupe de travail de proposer des pistes d'amélioration, rendues début mars 2013 sous forme d'un rapport organisé autour de trois objectifs :