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Président de la République | Miloš Zeman |
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Président du gouvernement | Jiří Rusnok |
Législature | VIe |
Formation | |
Fin | |
Durée | 6 mois et 19 jours |
Coalition | ČSSD-KSČM-VV (soutien sans participation) |
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Ministres | 14 |
Femmes | 1 |
Hommes | 13 |
Le gouvernement Rusnok (Vláda Jiřího Rusnoka) est un gouvernement technique, indépendant de toute formation politique, dirigé par l'économiste Jiří Rusnok entre le et le .
Le , le président du gouvernement, Petr Nečas, rend publique son intention de démissionner pour le lendemain, à la suite de l'interpellation, puis du placement en détention provisoire, de sa directrice de cabinet, Jana Nagyová, présentée par la presse comme sa maîtresse, inculpée de corruption et d'abus de pouvoir pour avoir fait suivre par le renseignement militaire l'épouse de Nečas, en pleine procédure de divorce. Il déclare également vouloir quitter la politique.
Le 25 juin, le président de la République, Miloš Zeman, qui s'était vu proposer, par la coalition sortante, le nom de la présidente de la Chambre des députés, Miroslava Němcová, pour la présidence du gouvernement, désigna finalement son conseiller, l'économiste Jiří Rusnok. Une nomination critiquée par la coalition sortante, qui souhaitait être reconduite, malgré la démission de Nečas, tout comme par l'opposition social-démocrate, qui réclame, elle, la tenue d'élections législatives anticipées.
Le 8 juillet, l'ancien président du gouvernement, Jan Fischer, candidat malheureux à l'élection présidentielle tchèque de janvier 2013, confirme avoir accepté le titre de vice-président du gouvernement, chargé du ministère des Finances. Cette nomination est vue comme la récompense du soutien apporté par Fischer à Zeman, à l'occasion du second tour du scrutin présidentiel, face à Karel Schwarzenberg, le ministre des Affaires étrangères du gouvernement Nečas.
Le 10 juillet, le gouvernement Rusnok est officiellement nommé par le chef de l'État, lors d'une cérémonie solennelle au château de Prague.
N'ayant pas obtenu la confiance de la chambre basse, le 7 août, 93 députés s'étant prononcés en sa faveur contre 100, le gouvernement Rusnok démissionne officiellement le 13 août. Il n'aura assumé l'exercice du pouvoir exécutif qu'un peu plus d'un mois. Il reste en fonctions jusqu'à l'investiture du gouvernement Sobotka, le .