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Titre original | Diaz: Don't Clean Up This Blood |
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Réalisation | Daniele Vicari |
Scénario |
Daniele Vicari Laura Paolucci Alessandro Bandinelli Emanuele Scaringi |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Fandango Mandragora Movies Le Pacte |
Pays de production |
Italie France Roumanie |
Genre | Drame |
Durée | 127 minutes |
Sortie | 2012 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Diaz : un crime d'État (titre original : Diaz: Don't Clean Up This Blood) est un film dramatique et historique italo-franco-roumain réalisé par Daniele Vicari, sorti en 2012.
Le film raconte l'assaut mené, dans la nuit du 21 au , par la police contre l'école Diaz, tant du point de vue des militants que des forces de l'ordre.
En 2001, pendant le sommet du G8 a Gênes (Italie), des altermondialistes manifestent pacifiquement dans ce qui est un mouvement de masse sans revendication, demandant simplement justice pour le monde entier. Dans le même temps, une bouteille vide, lancée par un manifestant, s'écrase sur le sol. Des anarchistes du Black bloc saccagent la ville, mettent le feu à des voitures et pillent les commerces. Au cours des heurts violents, un manifestant, Carlo Giuliani, est tué délibérément par la police.
Le dernier jour du sommet du G8, sous prétexte de la bouteille lancée contre eux, quelque 300 policiers envahissent l'école Diaz, où est établi le centre d'information alternatif mis en place pour le contre-sommet, et attaquent délibérément et sans distinction les personnes qui y logent et qui s'apprêtaient à se coucher. L'opération policière est menée contre l'établissement scolaire car les autorités supputent que ce sont des membres violents du Black bloc qui y résident. Tous sont matraqués, jeunes et vieux, garçons et filles. Même un journaliste italien de droite est frappé sans ménagement. Les violences policières font de nombreux blessés, dont certains graves, et plusieurs dizaines de militants altermondialistes sont arrêtés illicitement pendant trois jours après que les policiers ont monté de toutes pièces des preuves en vue de justifier leur action. Emprisonnés, les manifestants subissent matraquages, humiliations et autres insultes. Les filles doivent se déshabiller et tourner nues sur elles-mêmes devant les policiers.