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1880 : mise en place d'une politique officielle d'assimilation des aborigènes en Australie ; les missions (catholiques, luthériennes, anglicanes…) sont multipliées pour regrouper les populations aborigènes et les convertir au christianisme et éradiquer les pratiques dites « primitives », comme l’initiation des jeunes gens. La conversion des adultes s’avère difficile. On tente d’isoler les enfants dans des pensionnats pour leur inculquer les préceptes bibliques. De 1880 à 1966, 10 à 30 % des enfants aborigènes sont séparés de leur famille pour les confier à des orphelinats, à des missions chrétiennes ou à des familles d'accueil blanches.
l’assassinat du tsar Alexandre II de Russie le est suivi de la première vague de pogroms à l’encontre des Juifs dans l’Empire russe. C'est le début de la première vague d’immigration juive (aliya ou alyah; 1881-1902), des Juifs venus de Russie, de Roumanie, et du Yémen viennent s’installer en Palestine,. Les populations sont prises en charge par l’Alliance israélite et orientées vers des colonies agricoles financées par Edmond de Rothschild (Rishon LeZion, Zikhron Yaakov, Rosh Pina). À la veille de la première vague de réfugiés européens, la population juive de Palestine est estimée à vingt mille personnes. Le sultan n’autorise les immigrants à s’installer (sauf en Palestine) qu’à condition qu’ils deviennent sujets ottomans. En outre, la vente de terre supplémentaire est interdite aux colons qui sont déjà installés en Palestine.
Londres soutient les nationalistes arméniens et bulgares. En s’appuyant sur des éléments non turc de l’Empire ottoman, la Grande-Bretagne entend garantir la sécurité de ses accès aux Indes, en contrôlant les ports de la Méditerranée orientale, le canal de Suez et les côtes d’Arabie.
↑Marc Lavergne, Le Soudan contemporain: de l'invasion turco-égyptienne à la rébellion africaine (1821-1989), Karthala, (ISBN9782865372225, présentation en ligne).