Dans le monde d'aujourd'hui, 31 juillet est un sujet qui a acquis une grande importance et a généré d'intenses débats dans différents domaines. Depuis son émergence, 31 juillet a retenu l’attention des universitaires, des professionnels et du grand public, générant des opinions contradictoires et provoquant de profondes réflexions sur son impact sur la société. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives sur 31 juillet et analyserons son influence sur divers aspects de la vie quotidienne. De son origine à ses conséquences, nous approfondirons une analyse approfondie qui permettra de mieux comprendre ce phénomène et ses implications pour le futur.
1358 : assassinat d'Étienne Marcel par des Parisiens. Il refusait de laisser entrer dans la ville les troupes navarraises et anglaises, commandées par un prince de sang cousin du roi Jean II.
1602 : le maréchal de FranceCharles de Gontaut-Biron, ancien compagnon d'armes de Henri IV, et vaillant combattant en Arques et Ivry, est décapité pour trahison (récidive de complot avec le roi d'Espagne et le duc de Savoie), pas sur la place de Grève de Paris, comme à l'accoutumée, mais dans la cour de la Bastille, par "magnanimité" du roi.
1812 : les Espagnols réoccupent la partie orientale de la Vice-Royauté de Nouvelle-Grenade (capitainerie générale du Venezuela, tout juste érigée en république).
1995 : le Parlement français adopte la révision constitutionnelle portant sur l'extension du champ d'application du référendum, l'instauration d'une session parlementaire unique de neuf mois pour les deux assemblées et la réduction de l'immunité des députés et des sénateurs.
1923 : Victor Goldbloom, homme politique québécois plusieurs fois ministre († ).
1924 : Philippe Caillard, chef de chœur, professeur de musique, conseiller ministériel, éditeur de musique chorale et homme de radio français et européen.
448 : saint Germain d'Auxerre / Germain l'Auxerrois, fonctionnaire et religieux gallo-romain de l'Antiquité tardive, évangélisateur reconnu de l'Auxerrois et de la Bretagne insulaire, 6e évêque d'Auxerre de 418 à cette mort, protecteur à distance de la jeune (future sainte) Geneviève de Nanterre et Lutèce, canonisé saint fêté le 31 juillet comme ci-après (° vers ).
Paul-Henri Spaak, homme politique belge, trois fois Premier ministre de Belgique (1938-1939, 1946 et 1947-1949), président de l’Assemblée générale des Nations unies de 1952 à 1954 et secrétaire général de l’OTAN de 1957 à 1961, l'un des pères fondateurs de l'Union européenne (° ).
Ignace de Loyola († 1556), étudiant espagnol en religion à Paris, fondateur de l'ordre des Jésuites avec François-de-Xavier sur le versant sud de la colline de Montmartre.
Outre les saints œcuméniques voire pré-schismatiques ci-avant, aux dates parfois "juliennes" / orientales ...
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Prénoms du jour
Bonne fête aux Ignace et ses variantes : Ignacia, Ignacie, Ignacio, Ignacy, Ignatius, Ignaz, Iñaki, Inigo, etc. Les Inès et leurs variantes sont célébrées à une autre date, si ce n'est le 21 janvier des Agnès.
Plusieurs voies, places, sites ou édifices de pays ou régions francophones contiennent cette date sous diverses graphies : voir Trente-et-Un-Juillet.
Notes et références
↑Max Gallo, Richelieu, la foi dans la France, Villeneuve d'Ascq & Mayenne, XO éditions, , 370 p. (ISBN978-2-84563-381-0), 1 "1585-1608", « 3 (page 36) ».