Dans le monde moderne, 1059 est devenu de plus en plus important. Que ce soit dans le domaine académique, professionnel, social ou culturel, 1059 est devenu un sujet central de débat et de réflexion. Sa pertinence a transcendé les barrières géographiques et culturelles, et a eu un impact significatif sur la vie des gens. Dans cet article, nous explorerons différents aspects de 1059, de ses origines à son influence aujourd'hui. À travers une analyse détaillée, nous tenterons de faire la lumière sur les complexités et les contradictions entourant 1059, dans le but de mieux comprendre son rôle dans le monde contemporain.
23 juillet : Ibrahim Yinal(en) est étranglé après sa défaite par son cousin le SeldjoukideToghrul-Beg, qui propose à al-Basâsiri une alliance en échange de la restauration du calife Al-Qa'im. Basâsiri refuse et quitte Bagdad en décembre.
13 avril : le synode de Latran réunit par Nicolas II fait réserver aux seuls cardinaux le droit d’élire les papes. Leur choix sera ratifié par acclamation du clergé et du peuple romain (décret d’). Aucun prêtre ne pourra recevoir une église des mains d’un laïc. La simonie et le nicolaïsme (désordre des mœurs) sont condamnés. L’Église allemande réagit en prononçant une sentence d’excommunication contre le pape. La mort de Nicolas II en 1061 évite le schisme.
25 décembre : couronnement de Constantin X Doukas, empereur byzantin (fin du règne en 1067). Il succède à Isaac Ier Comnène dont il était le ministre et qui abdique en sa faveur le , après avoir proposé le trône à son frère Jean Comnène qui refuse, à cause de l'hostilité du clergé et de la bureaucratie impériale à son égard. L’avènement de Constantin X marque le triomphe de la bureaucratie sur l’aristocratie provinciale et militaire. Sa politique affaiblit la défense des frontières et permet aux Seldjoukides, Hongrois, Petchenègues et Normands d’arracher plusieurs provinces de l’empire et de ravager de vastes territoires.
↑Maria Parani, Brigitte Pitakaris et Jean-Michel Spieser, « Un exemple d’inventaire d’objets liturgiques : le testament d’Eustathios Boïlas () », Revue des études byzantines, vol. 61, , p. 143-165.
↑Ou au début de l'année 451 de l'Hégire, commencée le 17 février